Au cœur des faits
D5News ADMIN
Narration
« Au Bénin, au Sénégal, au Cameroun… les bourses scolaires sont censées aider les plus pauvres.
Mais dans certains établissements, les familles n’en voient jamais la couleur.
Une mère, Aminata, m’a dit :
"On m’a demandé 10 000 francs CFA pour
Narration
« Au Bénin, au Sénégal, au Cameroun… les bourses scolaires sont censées aider les plus pauvres.
Mais dans certains établissements, les familles n’en voient jamais la couleur.
Une mère, Aminata, m’a dit :
"On m’a demandé 10 000 francs CFA pour débloquer l’aide. Sinon, c’est pour quelqu’un d’autre."
Un enseignant m’a montré une liste trafiquée. Des enfants fictifs. Des sommes réparties entre trois responsables.
"Tout le monde sait. Mais personne ne bouge. Parce que tout le monde y gagne."
À l’école, les enfants récitent leur leçon. Mais dans les couloirs, c’est la loi du plus fort. Et du plus corrompu. »
Conclusion émotionnelle
« Quand l’école devient un business, c’est l’avenir qu’on hypothèque.
À D5News, on n’oublie pas que l’éducation est un droit.
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Parce qu’il faut sortir les faits de l’ombre… pour que les enfants aient un avenir. »
Narration
« Sur les 140 kilomètres qui relient Makokou à Oyem, plusieurs personnes ont disparu ces dix dernières années.
Des jeunes, des femmes, des camionneurs… tous partis un matin. Jamais revenus.
La forêt est dense. Il y a peu de relais, pas de lumière la nuit, et les légendes courent plus vite que les voitures.
Mais derrière les fantasmes, des familles attendent des réponses.
J’ai rencontré Sarah. Son frère s’est volatilisé il y a 6 ans, alors qu’il partait livrer du matériel de chantier.
"Il avait dit qu’il appelait dès son arrivée. Le téléphone a sonné dans le vide… puis plus rien."
Des rumeurs parlent de braconniers, d’enlèvements rituels, d’accidents couverts par les autorités.
Mais aucun dossier n’a été réellement ouvert. Juste des notes internes. Et des silences. »
Conclusion émotionnelle
« Une route. Des absences. Et l’oubli comme seule réponse officielle.
À D5News, on ouvre les yeux.
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Parce qu’aucune disparition ne mérite le silence. »
« En Côte d’Ivoire, des années après le scandale du Probo Koala, les containers continuent d’arriver.
Des déchets "recyclables", souvent contaminés. Des documents falsifiés. Des ports complices.
Un docker nous raconte :
"Y’a des jours où on décharge des bidons dont personne ne veut s’approcher. Mais c’est signé, c’est 'autorisé'. Alors on ferme les yeux."
J’ai visité un ancien site d’enfouissement à Abidjan. Sol craquelé. Odeur d’ammoniaque.
Des enfants jouent à quelques mètres. Leurs mères ne savent même pas que la terre est contaminée.
Dans les bureaux climatisés des douanes, on me parle de quotas, de contrôles… Mais tout le monde sait. Et personne ne parle. »
Conclusion émotionnelle
« Tant que les déchets des uns valent l’argent des autres, le poison circule.
À D5News, on suit les traces invisibles.
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Parce que certaines vérités sentent mauvais… mais doivent être dites. »
« Dans le Kasaï, en RDC, les mines artisanales pullulent.
Sur le papier, ce sont des projets communautaires. Dans les faits, ce sont souvent des gouffres. Littéralement.
Des enfants disparaissent dans des puits. Des hommes travaillent 14 heures par jour pour quelques grammes.
Aucune protection. Aucun contrat. Et pourtant, les métaux rares arrivent jusqu’en Europe.
J’ai interrogé un ancien exploitant devenu lanceur d’alerte.
"On nous fait croire qu’on creuse pour nous. Mais c’est toujours pour d’autres."
Une mine s’est effondrée il y a 2 mois. Pas une ligne dans la presse locale.
Mais 17 familles ont perdu un frère, un fils, un mari. »
Conclusion émotionnelle
« Le sol africain est riche. Mais ceux qui l’habitent meurent pauvres.
À D5News, on ne détourne pas le regard.
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Parce qu’on ne peut pas rester silencieux quand tout s’effondre. »
Narration
« Dans le nord du Mali, dans certaines zones de l’Est du Congo, ou encore au Nigéria, des groupes armés continuent de recruter des enfants.
Pas toujours par la force. Parfois par promesse. Par faim. Par peur.
J’ai écouté Mohamed, 16 ans.
Il a porté une Kalachnikov à 12 ans.
"Je voulais protéger ma sœur. Ils ont dit que si je ne venais pas, ils viendraient la prendre."
Aujourd’hui, il est en centre de réinsertion. Il ne dort toujours pas sans cauchemars.
Il me dit :
"Je ne sais plus qui je suis. Je n’étais ni un soldat… ni un enfant." »
Conclusion émotionnelle
« Quand on vole l’innocence, on vole une génération entière.
À D5News, on fait parler ceux qu’on a voulu taire.
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Parce que raconter, c’est déjà résister. »
Narration
« Au Bénin, au Sénégal, au Cameroun… les bourses scolaires sont censées aider les plus pauvres.
Mais dans certains établissements, les familles n’en voient jamais la couleur.
Une mère, Aminata, m’a dit :
"On m’a demandé 10 000 francs CFA pour débloquer l’aide. Sinon, c’est pour quelqu’un d’autre."
Un enseignant m’a montré une liste trafiquée. Des enfants fictifs. Des sommes réparties entre trois responsables.
"Tout le monde sait. Mais personne ne bouge. Parce que tout le monde y gagne."
À l’école, les enfants récitent leur leçon. Mais dans les couloirs, c’est la loi du plus fort. Et du plus corrompu. »
Conclusion émotionnelle
« Quand l’école devient un business, c’est l’avenir qu’on hypothèque.
À D5News, on n’oublie pas que l’éducation est un droit.
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Parce qu’il faut sortir les faits de l’ombre… pour que les enfants aient un avenir. »
Narration
« En RDC, des dizaines de femmes ont témoigné contre des employés d’ONG.
Médecins, logisticiens, encadreurs.
Des hommes envoyés pour sauver… qui ont abusé de leur pouvoir.
Je rencontre Félicité. 19 ans à l’époque.
"Il m’a dit que si je refusais, je n’aurais plus les vivres pour ma famille. Il m’a fait croire que c’était normal."
Des rapports internes existent. Des suspensions ont été décidées. Mais très peu de poursuites judiciaires.
Et les ONG concernées ? Silence. Ou réponses floues.
Un ancien responsable, en off, avoue :
"On a trop peur de nuire à la réputation. Alors on enterre." »
Conclusion émotionnelle
« Quand les sauveurs deviennent bourreaux, qui protège les victimes ?
Avec D5News, on brise les silences.
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Parce que la vérité ne doit pas avoir de passeport humanitaire. »