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Découvrez les podcasts D5News : interviews, récits, analyses et témoignages qui donnent la parole à la diaspora des 5 continents.
Bonjour et bienvenue dans "Entrepreneuriat Africain", le podcast qui, avec la curiosité de D5News, explore aujourd’hui des mondes inattendus, des univers qui prouvent que l'économie peut être au service de l'humain. Aujourd'hui, nous allons plonger dans un domaine où chaque idée peut transformer une vie, chaque projet, un destin : l'entrepreneuriat social en Afrique.
Aïsha a 35 ans. Elle est fondatrice de " Lumière pour Tous ", une entreprise qui fournit des lampes solaires à bas coût dans les zones rurales non électrifiées au Sénégal. "On pense que l'entreprise, c'est juste faire de l'argent, me dit-elle, mais on peut aussi résoudre des problèmes sociaux criants. Chaque lampe vendue, c'est un enfant qui peut étudier la nuit, une femme qui peut travailler après le coucher du soleil. C'est une révolution silencieuse."
Dans son petit atelier de Dakar, tout est pensé pour l'impact : la formation des jeunes au montage, le circuit de distribution qui privilégie les vendeurs locaux, les matériaux durables. "Mon père me disait : 'Le commerce, c'est le sang de la communauté'. J'ai juste ajouté : 'Et le cœur du commerce, c'est de servir la communauté'." Elle sourit, pleine d'une détermination contagieuse face à l'incompréhension persistante de certains. Pour beaucoup, le business social reste une utopie.
Aïsha parle aussi, sans fard, des nuits d’insomnie qui suivent une commande non livrée à cause de routes impraticables, des défis de la logistique en milieu rural, du stress financier lié à la pérennité de son modèle. "On vit sur le fil, chaque subvention est un examen, chaque client un espoir. Mais malgré tout, c’est la plus belle adrénaline du monde. Cette sensation de contribuer, de se dépasser, d'apporter un vrai changement, c'est inoubliable."
Derrière chaque panneau solaire, chaque ampoule qui s'allume, il y a un cœur qui bat à 100 à l'heure, un esprit qui crée et une passion dévorante. Pour découvrir ces mondes cachés, ces disciplines qui changent la donne et redéfinissent ce que "réussir" signifie, téléchargez notre application D5News et suivez nos réseaux sur Instagram, TikTok, Facebook. Parce qu’on raconte aussi les victoires invisibles, celles qui se gagnent en silence, loin des grands titres économiques. Restez connectés pour de nouvelles immersions surprenantes !
Bonjour et bienvenue dans "Entrepreneuriat Africain", le podcast qui, avec la conviction de D5News, n'a pas peur d'entrer là où les idées germent, là où l'innovation se tisse. Aujourd’hui, nous allons passer quelques heures derrière les coulisses d’une startup agricole au Kenya, pour vous faire entendre des voix trop souvent réduites au silence par le récit unique de l'aide au développement.
Mwangi a 30 ans, il est ingénieur agronome de formation. Sa voix est douce, mais ses mots sont percutants. "Quand on parle d'agriculture en Afrique, les gens imaginent souvent des paysans avec des outils rudimentaires. Mais la vérité, c'est que nous avons une immense soif d'innovation, et des solutions uniques à apporter au monde." Il a fondé "AgriConnect", une plateforme qui met en relation les petits agriculteurs avec les marchés, via une application mobile simple.
Un mentor d'incubateur, qui passe ses journées à accompagner de jeunes pousses, me raconte, la voix chargée d'enthousiasme : "Ici, on ne parle pas de problèmes, on parle d'opportunités. Chaque défi est une occasion de créer de la valeur. Mwangi, par exemple, a transformé le manque d'accès au marché des petits producteurs en une opportunité de digitalisation et d'autonomisation."
Pendant ces quelques heures, Mwangi se confie. Il raconte les premières portes qui se sont fermées, le scepticisme des investisseurs, la difficulté de convaincre les agriculteurs les plus âgés d'adopter de nouvelles technologies. Mais derrière chaque mot, on sent l’énergie contagieuse de l'entrepreneur, la fierté d'avoir créé des emplois, d'avoir aidé des familles à sortir de la précarité. "Mon rêve le plus simple et le plus puissant : voir chaque agriculteur africain devenir maître de sa chaîne de valeur, et pas seulement un maillon invisible."
À la fin de notre entretien, quand je lui demande ce qu’il espère, ce qu'il souhaite par-dessus tout, il répond simplement, les larmes aux yeux : "Je veux juste qu’on nous voie comme des bâtisseurs. Pas des assistés, pas des cas sociaux. Juste des innovateurs qui construisent l'avenir de leur continent."
Dans chaque regard croisé dans ces bureaux improvisés, il y a une histoire humaine qu’on oublie trop vite, une dignité qui attend d'être reconnue. Avec D5News, nous refusons d’oublier, nous refusons de laisser ces voix dans l'ombre. Pour une information qui défend l'humanité avant tout, téléchargez notre application D5News, suivez nos réseaux sur Instagram, TikTok, Facebook. Parce qu’aucun être humain n’est illégal, et que chaque histoire compte. Restez connectés pour des témoignages qui touchent au cœur.
Bonjour et bienvenue dans "Entrepreneuriat Africain", le podcast qui, avec la curiosité de D5News, explore aujourd’hui des mondes inattendus, des univers qui façonnent la culture des jeunes générations. Aujourd'hui, nous allons plonger dans un domaine où chaque débrouille, chaque transaction, chaque solution créative peut valoir une carrière, chaque décision, un destin : l'économie informelle africaine.
Mama Adja a 55 ans. Elle est vendeuse de fruits et légumes au marché de Sandaga, à Dakar, depuis plus de 30 ans. Ses journées ? Se lever avant l'aube pour acheter les produits frais, les disposer avec soin sur son étal, négocier les prix, gérer sa petite trésorerie, et veiller sur sa famille. "On pense que l'économie informelle, c'est juste la survie, me dit-elle, mais c'est aussi un système ingénieux, une école de commerce à ciel ouvert. On apprend la négociation, la gestion des stocks, la relation client, tout ça sans diplôme." La pression est immense, car chaque jour est un défi.
Dans son petit coin du marché, tout est millimétré : son système pour stocker les invendus, ses relations avec les fournisseurs, sa connaissance précise des prix du marché. "Mes enfants me disent parfois : 'Maman, tu devrais ouvrir un vrai magasin'. Mais ma boutique, c'est ici, sur ce coin de trottoir. C'est ma liberté, mon indépendance." Elle sourit, un peu fatiguée, face à l'incompréhension persistante de certains. Pour beaucoup, l'informel reste un secteur marginal.
Mama Adja parle aussi, sans fard, des nuits d’insomnie qui suivent une journée sans vente, des blessures physiques dues au port de charges lourdes, du stress psychologique lié à l'incertitude du lendemain. "On vit sur le fil, chaque matin est un examen, chaque client un duel pour gagner sa vie. Mais malgré tout, c’est la plus belle adrénaline du monde. Cette sensation de maîtriser, de se dépasser, d'assurer le repas de sa famille, c'est inoubliable."
Derrière chaque étal improvisé, chaque petite transaction, il y a un cœur qui bat à 100 à l'heure, un esprit qui calcule et une passion dévorante pour la survie et l'autonomie. Pour découvrir ces mondes cachés, ces disciplines qui changent la donne et redéfinissent ce que "travailler" signifie, téléchargez notre application D5News et suivez nos réseaux sur Instagram, TikTok, Facebook. Parce qu’on raconte aussi les victoires invisibles, celles qui se gagnent en silence, loin des grands bureaux. Restez connectés pour de nouvelles immersions surprenantes !
Bonjour et bienvenue dans "Entrepreneuriat Africain", le podcast qui, avec l'humanité de D5News, vous emmène là où l'audace rencontre l'innovation. Aujourd'hui, nous allons vous faire écouter la voix de femmes qui, malgré les obstacles culturels et financiers, bâtissent des empires et transforment leurs communautés.
Ndèye Fatou, une entrepreneure sénégalaise de 42 ans, dirige une entreprise de transformation alimentaire qui emploie majoritairement des femmes. Son visage, marqué par la fatigue, mais aux yeux vifs, reflète sa détermination. "Quand j’ai voulu lancer mon entreprise, beaucoup m’ont dit que ma place était à la maison. Qu’une femme n’avait pas sa place dans le monde des affaires. Mais l’envie de créer, d’être indépendante, et surtout de donner des opportunités à d’autres femmes, était plus forte."
Chaque matin, dans les ateliers de Ndèye Fatou, on entend le bruit sec des machines, les rires et les chants des employées, le frottement des matières premières, et, malgré tout, la conviction inébranlable que son entreprise est plus qu'un business : c'est un levier d'émancipation. Le marché local et international s'arrache ses produits bio.
Ndèye Fatou, les larmes qui montent subitement à ses yeux avant d'être ravalées avec un sourire forcé, me dit : "On a perdu des batailles contre les préjugés, les financements difficiles à obtenir en tant que femme. Mais on a gagné une sororité, une force que je n'aurais jamais imaginée. C'est ça qui nous tient." Et là, elle s’arrête, marque une pause, puis son sourire s’élargit, plein d'une détermination contagieuse.
Après chaque défi surmonté, après chaque victoire, il reste des voix. Celles des bâtisseuses, des leaders, des résilientes. Pour entendre celles qui tiennent le coup, qui reconstruisent, qui réinventent le quotidien, retrouvez-nous sur D5News. Téléchargez l’application D5News et suivez nos réseaux sur Instagram, TikTok, Facebook. Parce qu’ensemble, avec le courage de nos communautés, on se relève toujours. Restez connectés pour de nouvelles histoires qui prouvent que l'espoir ne meurt jamais.
Bonjour et bienvenue dans "Le Décryptage Africain", le podcast qui, avec l'humanité de D5News, vous emmène là où l'or, le diamant ou le pétrole recouvrent tout… sauf la justice. Aujourd'hui, nous allons vous faire écouter la voix d'une communauté qui, assise sur des richesses inouïes, peine à en voir les bénéfices.
Dans un petit village du Katanga en RDC, les mines de cobalt et de cuivre attirent les convoitises du monde entier. Mais les habitants, eux, vivent dans la précarité. Jean-Pierre, un enseignant de 45 ans, la voix marquée par l'injustice, dort dans une maison sans électricité, à quelques kilomètres d'un site minier qui brille de mille feux la nuit. "Quand les multinationales sont arrivées, on nous a promis des emplois, le développement. J'ai cru que c’était un rêve éveillé. Les routes devaient arriver, les écoles se construire... tout est resté à l'état de promesses noyées dans la poussière."
Chaque matin, dans les ruelles encore terreuses, on entend le bruit sec des marteaux-piqueurs des mines lointaines, les camions qui soulèvent des nuages de poussière, et, malgré tout, les rires fragiles des gamins qui jouent près des gisements pollués. Le dispensaire local manque de tout, alors que des tonnes de minerais sont extraites quotidiennement.
Jean-Pierre, les larmes qui montent subitement à ses yeux avant d'être ravalées avec un sourire forcé, me dit : "On a perdu nos terres, la santé de nos enfants à cause de la pollution. Mais on a gagné une conscience. On a découvert une solidarité que l'on n'aurait jamais imaginée pour se battre pour nos droits. C'est ça qui nous tient." Et là, il s’arrête, marque une pause, puis son sourire s’élargit, plein d'une détermination contagieuse.
Après chaque exploitation, après chaque épreuve, il reste des voix. Celles des survivants, des activistes, des résilients. Pour entendre celles qui tiennent le coup, qui reconstruisent, qui réinventent le quotidien, retrouvez-nous sur D5News. Téléchargez l’application D5News et suivez nos réseaux sur Instagram, TikTok, Facebook. Parce qu’ensemble, avec le courage de nos communautés, on se relève toujours. Restez connectés pour de nouvelles histoires qui prouvent que l'espoir ne meurt jamais.
Bonjour et bienvenue dans "Entrepreneuriat Africain", le podcast qui, avec la conviction de D5News, n'a pas peur d'entrer là où les rêves se concrétisent ou se heurtent à la réalité du financement. Aujourd’hui, nous allons passer quelques heures derrière les murs des fonds d'investissement et des incubateurs, pour vous faire entendre des voix trop souvent réduites au silence par les clichés sur le manque de capital.
Chinedu a 38 ans, il est à la tête d'un fonds de capital-risque à Lagos. Sa voix est douce, mais ses mots sont percutants. "Quand on parle de financement en Afrique, les gens imaginent souvent un vide. Mais la vérité, c'est que l'écosystème évolue à une vitesse fulgurante. Nous cherchons des idées, des équipes solides, et nous investissons massivement dans le potentiel de l'Afrique." Il a financé des dizaines de startups dans des secteurs variés, de l'énergie renouvelable à la logistique.
Un jeune entrepreneur, dont la startup vient de lever des fonds grâce à Chinedu, me raconte, la voix chargée d'émotion : "Ici, on ne parle pas de 'dons', on parle d'investissement, de retour sur investissement. On est challengé, poussé à l'excellence. C'est une reconnaissance de notre potentiel, portée par ceux qui croient en nous."
Pendant ces quelques heures, Chinedu se confie. Il raconte son rêve le plus simple et le plus puissant : voir une Afrique où chaque idée brillante trouve les moyens de se concrétiser, où la création de richesse est partagée, où les jeunes n'ont plus besoin d'émigrer pour réaliser leurs ambitions. Il parle des risques, des échecs, de la pression de ses propres investisseurs. Mais derrière chaque mot, on sent l’angoisse lancinante de voir des projets prometteurs s'éteindre faute de financement, et la détermination d'y remédier.
À la fin de notre entretien, quand je lui demande ce qu’il espère, ce qu'il souhaite par-dessus tout, il répond simplement, les larmes aux yeux : "Je veux juste qu’on voie l'Afrique comme un terrain fertile pour l'investissement, avec un potentiel de croissance que le reste du monde n'a pas. Pas un risque, pas un continent d'aide. Juste une opportunité, une terre d'entrepreneurs."
Dans chaque regard croisé derrière ces portes de bureaux clinquants, il y a une histoire humaine qu’on oublie trop vite, une dignité qui attend d'être reconnue. Avec D5News, nous refusons d’oublier, nous refusons de laisser ces voix dans l'ombre. Pour une information qui défend l'humanité avant tout, téléchargez notre application D5News, suivez nos réseaux sur Instagram, TikTok, Facebook. Parce qu’aucun entrepreneur n’est invisible, et que chaque idée compte. Restez connectés pour des témoignages qui touchent au cœur.
Bonjour et bienvenue dans "Entrepreneuriat Africain", le podcast qui, avec la curiosité de D5News, explore aujourd’hui des mondes inattendus, des univers qui prouvent que l'économie peut être au service de l'humain. Aujourd'hui, nous allons plonger dans un domaine où chaque idée peut transformer une vie, chaque projet, un destin : l'entrepreneuriat social en Afrique.
Aïsha a 35 ans. Elle est fondatrice de " Lumière pour Tous ", une entreprise qui fournit des lampes solaires à bas coût dans les zones rurales non électrifiées au Sénégal. "On pense que l'entreprise, c'est juste faire de l'argent, me dit-elle, mais on peut aussi résoudre des problèmes sociaux criants. Chaque lampe vendue, c'est un enfant qui peut étudier la nuit, une femme qui peut travailler après le coucher du soleil. C'est une révolution silencieuse."
Dans son petit atelier de Dakar, tout est pensé pour l'impact : la formation des jeunes au montage, le circuit de distribution qui privilégie les vendeurs locaux, les matériaux durables. "Mon père me disait : 'Le commerce, c'est le sang de la communauté'. J'ai juste ajouté : 'Et le cœur du commerce, c'est de servir la communauté'." Elle sourit, pleine d'une détermination contagieuse face à l'incompréhension persistante de certains. Pour beaucoup, le business social reste une utopie.
Aïsha parle aussi, sans fard, des nuits d’insomnie qui suivent une commande non livrée à cause de routes impraticables, des défis de la logistique en milieu rural, du stress financier lié à la pérennité de son modèle. "On vit sur le fil, chaque subvention est un examen, chaque client un espoir. Mais malgré tout, c’est la plus belle adrénaline du monde. Cette sensation de contribuer, de se dépasser, d'apporter un vrai changement, c'est inoubliable."
Derrière chaque panneau solaire, chaque ampoule qui s'allume, il y a un cœur qui bat à 100 à l'heure, un esprit qui crée et une passion dévorante. Pour découvrir ces mondes cachés, ces disciplines qui changent la donne et redéfinissent ce que "réussir" signifie, téléchargez notre application D5News et suivez nos réseaux sur Instagram, TikTok, Facebook. Parce qu’on raconte aussi les victoires invisibles, celles qui se gagnent en silence, loin des grands titres économiques. Restez connectés pour de nouvelles immersions surprenantes !
Bonjour et bienvenue dans "Entrepreneuriat Africain", le podcast qui, avec la conviction de D5News, n'a pas peur d'entrer là où les idées germent, là où l'innovation se tisse. Aujourd’hui, nous allons passer quelques heures derrière les coulisses d’une startup agricole au Kenya, pour vous faire entendre des voix trop souvent réduites au silence par le récit unique de l'aide au développement.
Mwangi a 30 ans, il est ingénieur agronome de formation. Sa voix est douce, mais ses mots sont percutants. "Quand on parle d'agriculture en Afrique, les gens imaginent souvent des paysans avec des outils rudimentaires. Mais la vérité, c'est que nous avons une immense soif d'innovation, et des solutions uniques à apporter au monde." Il a fondé "AgriConnect", une plateforme qui met en relation les petits agriculteurs avec les marchés, via une application mobile simple.
Un mentor d'incubateur, qui passe ses journées à accompagner de jeunes pousses, me raconte, la voix chargée d'enthousiasme : "Ici, on ne parle pas de problèmes, on parle d'opportunités. Chaque défi est une occasion de créer de la valeur. Mwangi, par exemple, a transformé le manque d'accès au marché des petits producteurs en une opportunité de digitalisation et d'autonomisation."
Pendant ces quelques heures, Mwangi se confie. Il raconte les premières portes qui se sont fermées, le scepticisme des investisseurs, la difficulté de convaincre les agriculteurs les plus âgés d'adopter de nouvelles technologies. Mais derrière chaque mot, on sent l’énergie contagieuse de l'entrepreneur, la fierté d'avoir créé des emplois, d'avoir aidé des familles à sortir de la précarité. "Mon rêve le plus simple et le plus puissant : voir chaque agriculteur africain devenir maître de sa chaîne de valeur, et pas seulement un maillon invisible."
À la fin de notre entretien, quand je lui demande ce qu’il espère, ce qu'il souhaite par-dessus tout, il répond simplement, les larmes aux yeux : "Je veux juste qu’on nous voie comme des bâtisseurs. Pas des assistés, pas des cas sociaux. Juste des innovateurs qui construisent l'avenir de leur continent."
Dans chaque regard croisé dans ces bureaux improvisés, il y a une histoire humaine qu’on oublie trop vite, une dignité qui attend d'être reconnue. Avec D5News, nous refusons d’oublier, nous refusons de laisser ces voix dans l'ombre. Pour une information qui défend l'humanité avant tout, téléchargez notre application D5News, suivez nos réseaux sur Instagram, TikTok, Facebook. Parce qu’aucun être humain n’est illégal, et que chaque histoire compte. Restez connectés pour des témoignages qui touchent au cœur.
Bonjour et bienvenue dans "Entrepreneuriat Africain", le podcast qui, avec la curiosité de D5News, explore aujourd’hui des mondes inattendus, des univers qui façonnent la culture des jeunes générations. Aujourd'hui, nous allons plonger dans un domaine où chaque débrouille, chaque transaction, chaque solution créative peut valoir une carrière, chaque décision, un destin : l'économie informelle africaine.
Mama Adja a 55 ans. Elle est vendeuse de fruits et légumes au marché de Sandaga, à Dakar, depuis plus de 30 ans. Ses journées ? Se lever avant l'aube pour acheter les produits frais, les disposer avec soin sur son étal, négocier les prix, gérer sa petite trésorerie, et veiller sur sa famille. "On pense que l'économie informelle, c'est juste la survie, me dit-elle, mais c'est aussi un système ingénieux, une école de commerce à ciel ouvert. On apprend la négociation, la gestion des stocks, la relation client, tout ça sans diplôme." La pression est immense, car chaque jour est un défi.
Dans son petit coin du marché, tout est millimétré : son système pour stocker les invendus, ses relations avec les fournisseurs, sa connaissance précise des prix du marché. "Mes enfants me disent parfois : 'Maman, tu devrais ouvrir un vrai magasin'. Mais ma boutique, c'est ici, sur ce coin de trottoir. C'est ma liberté, mon indépendance." Elle sourit, un peu fatiguée, face à l'incompréhension persistante de certains. Pour beaucoup, l'informel reste un secteur marginal.
Mama Adja parle aussi, sans fard, des nuits d’insomnie qui suivent une journée sans vente, des blessures physiques dues au port de charges lourdes, du stress psychologique lié à l'incertitude du lendemain. "On vit sur le fil, chaque matin est un examen, chaque client un duel pour gagner sa vie. Mais malgré tout, c’est la plus belle adrénaline du monde. Cette sensation de maîtriser, de se dépasser, d'assurer le repas de sa famille, c'est inoubliable."
Derrière chaque étal improvisé, chaque petite transaction, il y a un cœur qui bat à 100 à l'heure, un esprit qui calcule et une passion dévorante pour la survie et l'autonomie. Pour découvrir ces mondes cachés, ces disciplines qui changent la donne et redéfinissent ce que "travailler" signifie, téléchargez notre application D5News et suivez nos réseaux sur Instagram, TikTok, Facebook. Parce qu’on raconte aussi les victoires invisibles, celles qui se gagnent en silence, loin des grands bureaux. Restez connectés pour de nouvelles immersions surprenantes !
Bonjour et bienvenue dans "Entrepreneuriat Africain", le podcast qui, avec l'humanité de D5News, vous emmène là où l'audace rencontre l'innovation. Aujourd'hui, nous allons vous faire écouter la voix de femmes qui, malgré les obstacles culturels et financiers, bâtissent des empires et transforment leurs communautés.
Ndèye Fatou, une entrepreneure sénégalaise de 42 ans, dirige une entreprise de transformation alimentaire qui emploie majoritairement des femmes. Son visage, marqué par la fatigue, mais aux yeux vifs, reflète sa détermination. "Quand j’ai voulu lancer mon entreprise, beaucoup m’ont dit que ma place était à la maison. Qu’une femme n’avait pas sa place dans le monde des affaires. Mais l’envie de créer, d’être indépendante, et surtout de donner des opportunités à d’autres femmes, était plus forte."
Chaque matin, dans les ateliers de Ndèye Fatou, on entend le bruit sec des machines, les rires et les chants des employées, le frottement des matières premières, et, malgré tout, la conviction inébranlable que son entreprise est plus qu'un business : c'est un levier d'émancipation. Le marché local et international s'arrache ses produits bio.
Ndèye Fatou, les larmes qui montent subitement à ses yeux avant d'être ravalées avec un sourire forcé, me dit : "On a perdu des batailles contre les préjugés, les financements difficiles à obtenir en tant que femme. Mais on a gagné une sororité, une force que je n'aurais jamais imaginée. C'est ça qui nous tient." Et là, elle s’arrête, marque une pause, puis son sourire s’élargit, plein d'une détermination contagieuse.
Après chaque défi surmonté, après chaque victoire, il reste des voix. Celles des bâtisseuses, des leaders, des résilientes. Pour entendre celles qui tiennent le coup, qui reconstruisent, qui réinventent le quotidien, retrouvez-nous sur D5News. Téléchargez l’application D5News et suivez nos réseaux sur Instagram, TikTok, Facebook. Parce qu’ensemble, avec le courage de nos communautés, on se relève toujours. Restez connectés pour de nouvelles histoires qui prouvent que l'espoir ne meurt jamais.
Bonjour et bienvenue dans "Le Décryptage Africain", le podcast qui, avec l'humanité de D5News, vous emmène là où l'or, le diamant ou le pétrole recouvrent tout… sauf la justice. Aujourd'hui, nous allons vous faire écouter la voix d'une communauté qui, assise sur des richesses inouïes, peine à en voir les bénéfices.
Dans un petit village du Katanga en RDC, les mines de cobalt et de cuivre attirent les convoitises du monde entier. Mais les habitants, eux, vivent dans la précarité. Jean-Pierre, un enseignant de 45 ans, la voix marquée par l'injustice, dort dans une maison sans électricité, à quelques kilomètres d'un site minier qui brille de mille feux la nuit. "Quand les multinationales sont arrivées, on nous a promis des emplois, le développement. J'ai cru que c’était un rêve éveillé. Les routes devaient arriver, les écoles se construire... tout est resté à l'état de promesses noyées dans la poussière."
Chaque matin, dans les ruelles encore terreuses, on entend le bruit sec des marteaux-piqueurs des mines lointaines, les camions qui soulèvent des nuages de poussière, et, malgré tout, les rires fragiles des gamins qui jouent près des gisements pollués. Le dispensaire local manque de tout, alors que des tonnes de minerais sont extraites quotidiennement.
Jean-Pierre, les larmes qui montent subitement à ses yeux avant d'être ravalées avec un sourire forcé, me dit : "On a perdu nos terres, la santé de nos enfants à cause de la pollution. Mais on a gagné une conscience. On a découvert une solidarité que l'on n'aurait jamais imaginée pour se battre pour nos droits. C'est ça qui nous tient." Et là, il s’arrête, marque une pause, puis son sourire s’élargit, plein d'une détermination contagieuse.
Après chaque exploitation, après chaque épreuve, il reste des voix. Celles des survivants, des activistes, des résilients. Pour entendre celles qui tiennent le coup, qui reconstruisent, qui réinventent le quotidien, retrouvez-nous sur D5News. Téléchargez l’application D5News et suivez nos réseaux sur Instagram, TikTok, Facebook. Parce qu’ensemble, avec le courage de nos communautés, on se relève toujours. Restez connectés pour de nouvelles histoires qui prouvent que l'espoir ne meurt jamais.
Bonjour et bienvenue dans "Entrepreneuriat Africain", le podcast qui, avec la conviction de D5News, n'a pas peur d'entrer là où les rêves se concrétisent ou se heurtent à la réalité du financement. Aujourd’hui, nous allons passer quelques heures derrière les murs des fonds d'investissement et des incubateurs, pour vous faire entendre des voix trop souvent réduites au silence par les clichés sur le manque de capital.
Chinedu a 38 ans, il est à la tête d'un fonds de capital-risque à Lagos. Sa voix est douce, mais ses mots sont percutants. "Quand on parle de financement en Afrique, les gens imaginent souvent un vide. Mais la vérité, c'est que l'écosystème évolue à une vitesse fulgurante. Nous cherchons des idées, des équipes solides, et nous investissons massivement dans le potentiel de l'Afrique." Il a financé des dizaines de startups dans des secteurs variés, de l'énergie renouvelable à la logistique.
Un jeune entrepreneur, dont la startup vient de lever des fonds grâce à Chinedu, me raconte, la voix chargée d'émotion : "Ici, on ne parle pas de 'dons', on parle d'investissement, de retour sur investissement. On est challengé, poussé à l'excellence. C'est une reconnaissance de notre potentiel, portée par ceux qui croient en nous."
Pendant ces quelques heures, Chinedu se confie. Il raconte son rêve le plus simple et le plus puissant : voir une Afrique où chaque idée brillante trouve les moyens de se concrétiser, où la création de richesse est partagée, où les jeunes n'ont plus besoin d'émigrer pour réaliser leurs ambitions. Il parle des risques, des échecs, de la pression de ses propres investisseurs. Mais derrière chaque mot, on sent l’angoisse lancinante de voir des projets prometteurs s'éteindre faute de financement, et la détermination d'y remédier.
À la fin de notre entretien, quand je lui demande ce qu’il espère, ce qu'il souhaite par-dessus tout, il répond simplement, les larmes aux yeux : "Je veux juste qu’on voie l'Afrique comme un terrain fertile pour l'investissement, avec un potentiel de croissance que le reste du monde n'a pas. Pas un risque, pas un continent d'aide. Juste une opportunité, une terre d'entrepreneurs."
Dans chaque regard croisé derrière ces portes de bureaux clinquants, il y a une histoire humaine qu’on oublie trop vite, une dignité qui attend d'être reconnue. Avec D5News, nous refusons d’oublier, nous refusons de laisser ces voix dans l'ombre. Pour une information qui défend l'humanité avant tout, téléchargez notre application D5News, suivez nos réseaux sur Instagram, TikTok, Facebook. Parce qu’aucun entrepreneur n’est invisible, et que chaque idée compte. Restez connectés pour des témoignages qui touchent au cœur.
Bonjour et bienvenue dans "Entrepreneuriat Africain", le podcast qui, avec la curiosité de D5News, explore aujourd’hui des mondes inattendus, des univers qui prouvent que l'économie peut être au service de l'humain. Aujourd'hui, nous allons plonger dans un domaine où chaque idée peut transformer une vie, chaque projet, un destin : l'entrepreneuriat social en Afrique.
Aïsha a 35 ans. Elle est fondatrice de " Lumière pour Tous ", une entreprise qui fournit des lampes solaires à bas coût dans les zones rurales non électrifiées au Sénégal. "On pense que l'entreprise, c'est juste faire de l'argent, me dit-elle, mais on peut aussi résoudre des problèmes sociaux criants. Chaque lampe vendue, c'est un enfant qui peut étudier la nuit, une femme qui peut travailler après le coucher du soleil. C'est une révolution silencieuse."
Dans son petit atelier de Dakar, tout est pensé pour l'impact : la formation des jeunes au montage, le circuit de distribution qui privilégie les vendeurs locaux, les matériaux durables. "Mon père me disait : 'Le commerce, c'est le sang de la communauté'. J'ai juste ajouté : 'Et le cœur du commerce, c'est de servir la communauté'." Elle sourit, pleine d'une détermination contagieuse face à l'incompréhension persistante de certains. Pour beaucoup, le business social reste une utopie.
Aïsha parle aussi, sans fard, des nuits d’insomnie qui suivent une commande non livrée à cause de routes impraticables, des défis de la logistique en milieu rural, du stress financier lié à la pérennité de son modèle. "On vit sur le fil, chaque subvention est un examen, chaque client un espoir. Mais malgré tout, c’est la plus belle adrénaline du monde. Cette sensation de contribuer, de se dépasser, d'apporter un vrai changement, c'est inoubliable."
Derrière chaque panneau solaire, chaque ampoule qui s'allume, il y a un cœur qui bat à 100 à l'heure, un esprit qui crée et une passion dévorante. Pour découvrir ces mondes cachés, ces disciplines qui changent la donne et redéfinissent ce que "réussir" signifie, téléchargez notre application D5News et suivez nos réseaux sur Instagram, TikTok, Facebook. Parce qu’on raconte aussi les victoires invisibles, celles qui se gagnent en silence, loin des grands titres économiques. Restez connectés pour de nouvelles immersions surprenantes !
Bonjour et bienvenue dans "Entrepreneuriat Africain", le podcast qui, avec la conviction de D5News, n'a pas peur d'entrer là où les idées germent, là où l'innovation se tisse. Aujourd’hui, nous allons passer quelques heures derrière les coulisses d’une startup agricole au Kenya, pour vous faire entendre des voix trop souvent réduites au silence par le récit unique de l'aide au développement.
Mwangi a 30 ans, il est ingénieur agronome de formation. Sa voix est douce, mais ses mots sont percutants. "Quand on parle d'agriculture en Afrique, les gens imaginent souvent des paysans avec des outils rudimentaires. Mais la vérité, c'est que nous avons une immense soif d'innovation, et des solutions uniques à apporter au monde." Il a fondé "AgriConnect", une plateforme qui met en relation les petits agriculteurs avec les marchés, via une application mobile simple.
Un mentor d'incubateur, qui passe ses journées à accompagner de jeunes pousses, me raconte, la voix chargée d'enthousiasme : "Ici, on ne parle pas de problèmes, on parle d'opportunités. Chaque défi est une occasion de créer de la valeur. Mwangi, par exemple, a transformé le manque d'accès au marché des petits producteurs en une opportunité de digitalisation et d'autonomisation."
Pendant ces quelques heures, Mwangi se confie. Il raconte les premières portes qui se sont fermées, le scepticisme des investisseurs, la difficulté de convaincre les agriculteurs les plus âgés d'adopter de nouvelles technologies. Mais derrière chaque mot, on sent l’énergie contagieuse de l'entrepreneur, la fierté d'avoir créé des emplois, d'avoir aidé des familles à sortir de la précarité. "Mon rêve le plus simple et le plus puissant : voir chaque agriculteur africain devenir maître de sa chaîne de valeur, et pas seulement un maillon invisible."
À la fin de notre entretien, quand je lui demande ce qu’il espère, ce qu'il souhaite par-dessus tout, il répond simplement, les larmes aux yeux : "Je veux juste qu’on nous voie comme des bâtisseurs. Pas des assistés, pas des cas sociaux. Juste des innovateurs qui construisent l'avenir de leur continent."
Dans chaque regard croisé dans ces bureaux improvisés, il y a une histoire humaine qu’on oublie trop vite, une dignité qui attend d'être reconnue. Avec D5News, nous refusons d’oublier, nous refusons de laisser ces voix dans l'ombre. Pour une information qui défend l'humanité avant tout, téléchargez notre application D5News, suivez nos réseaux sur Instagram, TikTok, Facebook. Parce qu’aucun être humain n’est illégal, et que chaque histoire compte. Restez connectés pour des témoignages qui touchent au cœur.
Bonjour et bienvenue dans "Entrepreneuriat Africain", le podcast qui, avec la curiosité de D5News, explore aujourd’hui des mondes inattendus, des univers qui façonnent la culture des jeunes générations. Aujourd'hui, nous allons plonger dans un domaine où chaque débrouille, chaque transaction, chaque solution créative peut valoir une carrière, chaque décision, un destin : l'économie informelle africaine.
Mama Adja a 55 ans. Elle est vendeuse de fruits et légumes au marché de Sandaga, à Dakar, depuis plus de 30 ans. Ses journées ? Se lever avant l'aube pour acheter les produits frais, les disposer avec soin sur son étal, négocier les prix, gérer sa petite trésorerie, et veiller sur sa famille. "On pense que l'économie informelle, c'est juste la survie, me dit-elle, mais c'est aussi un système ingénieux, une école de commerce à ciel ouvert. On apprend la négociation, la gestion des stocks, la relation client, tout ça sans diplôme." La pression est immense, car chaque jour est un défi.
Dans son petit coin du marché, tout est millimétré : son système pour stocker les invendus, ses relations avec les fournisseurs, sa connaissance précise des prix du marché. "Mes enfants me disent parfois : 'Maman, tu devrais ouvrir un vrai magasin'. Mais ma boutique, c'est ici, sur ce coin de trottoir. C'est ma liberté, mon indépendance." Elle sourit, un peu fatiguée, face à l'incompréhension persistante de certains. Pour beaucoup, l'informel reste un secteur marginal.
Mama Adja parle aussi, sans fard, des nuits d’insomnie qui suivent une journée sans vente, des blessures physiques dues au port de charges lourdes, du stress psychologique lié à l'incertitude du lendemain. "On vit sur le fil, chaque matin est un examen, chaque client un duel pour gagner sa vie. Mais malgré tout, c’est la plus belle adrénaline du monde. Cette sensation de maîtriser, de se dépasser, d'assurer le repas de sa famille, c'est inoubliable."
Derrière chaque étal improvisé, chaque petite transaction, il y a un cœur qui bat à 100 à l'heure, un esprit qui calcule et une passion dévorante pour la survie et l'autonomie. Pour découvrir ces mondes cachés, ces disciplines qui changent la donne et redéfinissent ce que "travailler" signifie, téléchargez notre application D5News et suivez nos réseaux sur Instagram, TikTok, Facebook. Parce qu’on raconte aussi les victoires invisibles, celles qui se gagnent en silence, loin des grands bureaux. Restez connectés pour de nouvelles immersions surprenantes !
Bonjour et bienvenue dans "Entrepreneuriat Africain", le podcast qui, avec l'humanité de D5News, vous emmène là où l'audace rencontre l'innovation. Aujourd'hui, nous allons vous faire écouter la voix de femmes qui, malgré les obstacles culturels et financiers, bâtissent des empires et transforment leurs communautés.
Ndèye Fatou, une entrepreneure sénégalaise de 42 ans, dirige une entreprise de transformation alimentaire qui emploie majoritairement des femmes. Son visage, marqué par la fatigue, mais aux yeux vifs, reflète sa détermination. "Quand j’ai voulu lancer mon entreprise, beaucoup m’ont dit que ma place était à la maison. Qu’une femme n’avait pas sa place dans le monde des affaires. Mais l’envie de créer, d’être indépendante, et surtout de donner des opportunités à d’autres femmes, était plus forte."
Chaque matin, dans les ateliers de Ndèye Fatou, on entend le bruit sec des machines, les rires et les chants des employées, le frottement des matières premières, et, malgré tout, la conviction inébranlable que son entreprise est plus qu'un business : c'est un levier d'émancipation. Le marché local et international s'arrache ses produits bio.
Ndèye Fatou, les larmes qui montent subitement à ses yeux avant d'être ravalées avec un sourire forcé, me dit : "On a perdu des batailles contre les préjugés, les financements difficiles à obtenir en tant que femme. Mais on a gagné une sororité, une force que je n'aurais jamais imaginée. C'est ça qui nous tient." Et là, elle s’arrête, marque une pause, puis son sourire s’élargit, plein d'une détermination contagieuse.
Après chaque défi surmonté, après chaque victoire, il reste des voix. Celles des bâtisseuses, des leaders, des résilientes. Pour entendre celles qui tiennent le coup, qui reconstruisent, qui réinventent le quotidien, retrouvez-nous sur D5News. Téléchargez l’application D5News et suivez nos réseaux sur Instagram, TikTok, Facebook. Parce qu’ensemble, avec le courage de nos communautés, on se relève toujours. Restez connectés pour de nouvelles histoires qui prouvent que l'espoir ne meurt jamais.
Bonjour et bienvenue dans "Le Décryptage Africain", le podcast qui, avec l'humanité de D5News, vous emmène là où l'or, le diamant ou le pétrole recouvrent tout… sauf la justice. Aujourd'hui, nous allons vous faire écouter la voix d'une communauté qui, assise sur des richesses inouïes, peine à en voir les bénéfices.
Dans un petit village du Katanga en RDC, les mines de cobalt et de cuivre attirent les convoitises du monde entier. Mais les habitants, eux, vivent dans la précarité. Jean-Pierre, un enseignant de 45 ans, la voix marquée par l'injustice, dort dans une maison sans électricité, à quelques kilomètres d'un site minier qui brille de mille feux la nuit. "Quand les multinationales sont arrivées, on nous a promis des emplois, le développement. J'ai cru que c’était un rêve éveillé. Les routes devaient arriver, les écoles se construire... tout est resté à l'état de promesses noyées dans la poussière."
Chaque matin, dans les ruelles encore terreuses, on entend le bruit sec des marteaux-piqueurs des mines lointaines, les camions qui soulèvent des nuages de poussière, et, malgré tout, les rires fragiles des gamins qui jouent près des gisements pollués. Le dispensaire local manque de tout, alors que des tonnes de minerais sont extraites quotidiennement.
Jean-Pierre, les larmes qui montent subitement à ses yeux avant d'être ravalées avec un sourire forcé, me dit : "On a perdu nos terres, la santé de nos enfants à cause de la pollution. Mais on a gagné une conscience. On a découvert une solidarité que l'on n'aurait jamais imaginée pour se battre pour nos droits. C'est ça qui nous tient." Et là, il s’arrête, marque une pause, puis son sourire s’élargit, plein d'une détermination contagieuse.
Après chaque exploitation, après chaque épreuve, il reste des voix. Celles des survivants, des activistes, des résilients. Pour entendre celles qui tiennent le coup, qui reconstruisent, qui réinventent le quotidien, retrouvez-nous sur D5News. Téléchargez l’application D5News et suivez nos réseaux sur Instagram, TikTok, Facebook. Parce qu’ensemble, avec le courage de nos communautés, on se relève toujours. Restez connectés pour de nouvelles histoires qui prouvent que l'espoir ne meurt jamais.
Bonjour et bienvenue dans "Entrepreneuriat Africain", le podcast qui, avec la conviction de D5News, n'a pas peur d'entrer là où les rêves se concrétisent ou se heurtent à la réalité du financement. Aujourd’hui, nous allons passer quelques heures derrière les murs des fonds d'investissement et des incubateurs, pour vous faire entendre des voix trop souvent réduites au silence par les clichés sur le manque de capital.
Chinedu a 38 ans, il est à la tête d'un fonds de capital-risque à Lagos. Sa voix est douce, mais ses mots sont percutants. "Quand on parle de financement en Afrique, les gens imaginent souvent un vide. Mais la vérité, c'est que l'écosystème évolue à une vitesse fulgurante. Nous cherchons des idées, des équipes solides, et nous investissons massivement dans le potentiel de l'Afrique." Il a financé des dizaines de startups dans des secteurs variés, de l'énergie renouvelable à la logistique.
Un jeune entrepreneur, dont la startup vient de lever des fonds grâce à Chinedu, me raconte, la voix chargée d'émotion : "Ici, on ne parle pas de 'dons', on parle d'investissement, de retour sur investissement. On est challengé, poussé à l'excellence. C'est une reconnaissance de notre potentiel, portée par ceux qui croient en nous."
Pendant ces quelques heures, Chinedu se confie. Il raconte son rêve le plus simple et le plus puissant : voir une Afrique où chaque idée brillante trouve les moyens de se concrétiser, où la création de richesse est partagée, où les jeunes n'ont plus besoin d'émigrer pour réaliser leurs ambitions. Il parle des risques, des échecs, de la pression de ses propres investisseurs. Mais derrière chaque mot, on sent l’angoisse lancinante de voir des projets prometteurs s'éteindre faute de financement, et la détermination d'y remédier.
À la fin de notre entretien, quand je lui demande ce qu’il espère, ce qu'il souhaite par-dessus tout, il répond simplement, les larmes aux yeux : "Je veux juste qu’on voie l'Afrique comme un terrain fertile pour l'investissement, avec un potentiel de croissance que le reste du monde n'a pas. Pas un risque, pas un continent d'aide. Juste une opportunité, une terre d'entrepreneurs."
Dans chaque regard croisé derrière ces portes de bureaux clinquants, il y a une histoire humaine qu’on oublie trop vite, une dignité qui attend d'être reconnue. Avec D5News, nous refusons d’oublier, nous refusons de laisser ces voix dans l'ombre. Pour une information qui défend l'humanité avant tout, téléchargez notre application D5News, suivez nos réseaux sur Instagram, TikTok, Facebook. Parce qu’aucun entrepreneur n’est invisible, et que chaque idée compte. Restez connectés pour des témoignages qui touchent au cœur.